La croûte terrestre, plaquée contre son mur, est allée se faire encadrer !
Il est sorti de la maison, tout ratatiné comme d’habitude et est resté stupéfait.
Peut-être est-ce le vent du Nord, qui, soufflant comme on le sait par bourrasques, l’a apporté là ?
Prosper n’en croit pas ses yeux ; il examine, scrute, cherche…
Soudain, des particules de plomb écorchent ses paupières ; ses rides le chatouillent ; sa peau le brûle. Il se frotte les yeux l’imbécile, d’un geste malhabile et tout fout le camp !
Soudain, des particules de plomb écorchent ses paupières ; ses rides le chatouillent ; sa peau le brûle. Il se frotte les yeux l’imbécile, d’un geste malhabile et tout fout le camp !
La peinture s’écaille comme le monde s’effrite ; on se meurt par ici et c’est nauséabond ; s’il n y prend pas garde, le mur va l’engloutir dans un nuage de poussière apocalyptique.
Redresse-toi Prosper !
Cherche le moyen de sortir un tout petit peu du cadre, du champ de vision, du pessimisme ambiant …
Allez Prosper, un effort, un tout petit effort et tu verras toi aussi des lendemains qui chantent et des graffitis de joie envahir ton mur.
Et le graphe fit tilt ! ;)
RépondreSupprimerIl y a de quoi à être ébahi devant le cadre
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